Appel à la fermeté en la voie de Dieu et reproche aux infidèles. La chute du chrétien provoque de la douleur à ses ancêtres endormis. L’onction permanente et avant se coucher. La guerre contre l’infamie

… Mon peuple, c’est par le feu que Sodome et Gomorrhe sont passées. C’est par les eaux que la créature terrestre es passé et seulement quatre familles sont restées vivantes. Mon peuple, aujourd’hui, comme auparavant, Dieu est fâché contre l’esprit mal, pour avoir rempli la terre de son œuvre et son royaume avec les créatures que J’ai faites. Mon peuple, tu seras mille fois heureux de te nommer Mon peuple.

… Mon peuple, Je viendrai en grande colère et Je détruirai tous les esprits impurs et toutes les gens mauvaises. Mon peuple, si tu as un mauvais esprit en toi, arrache-le, car ton cœur sera anéanti.

… Mon peuple, prépare-toi pour Dieu. Dieu te pardonne, comme Il a pardonné le fils prodigue, mais romps le lien avec le diable. Mon peuple, aujourd’hui tu as le plaisir d’être avec l’esprit maléfique, mais tu auras le destin de lutter contre lui, comme on a lutté en 1916 et 1947. Epée contre épée vous lutterez. Tu diras: «Trompeur, pourquoi m’as-tu trompé?». Oh, Mon peuple, comme Juda tu t’es trompé; tu as changé le trésor céleste pour une envie terrestre. Oh, Mon peuple, si tu pouvais voir le trésor que tu as vendu pour une envie! Si tu pouvais voir ça, tu n’aurais pas envie ni même de boire de l’eau. Regarde, il est écrit que tu pleures, que tu regrettes, mais au lieu de cela, tu fais la fête et tu te divertis. Cette belle femme qui franchit le seuil toute nue est l’outil du diable, que l’esprit mauvais t’a emmené pour perdre la semence de Dieu.

Mes enfants, pour les péchés qu’on voit chez vous aujourd’hui, Dieu se réjouirait si plus d’enfants n’étaient nés, car seul l’enfer se réjouit de ces naissances, tandis que Dieu se lamente et pleure. Oh, peuple cher, auquel Dieu a donné Sa ressemblance, Il t’a donné Sa voix! Méfie-toi du péché, ne rend pas riche le diable. Un autre Jésus ne viendra plus pour t’en faire de nouveau sortir et dans le péché où tu te trouves, tu y périras. Aucun prophète ne viendra, car la foi a péri. Maintenant, sais-tu ce qu’il est en train de venir? Le massacre approche.

Calarasi, Calarasi, Je t’ai traversé et J’ai servi le dîner chez toi. J’ai dormi chez toi comme au jardin de Gethsémani. J’ai prié et tu as dormi. Pourquoi donc, comme ça? Calarasi, Calarasi, Je suis passé par toi comme Je suis passé par Jérusalem, ou comme Luc et Thomas avaient traversé les pays étrangers. Tout le monde se demandait: «Qui est-ce?». Mais ils ne voulaient pas leur dire qui ils étaient, parce que c’était comme ça Mon œuvre; car aujourd’hui si J’étais dans la chair, Je serais crucifié de nouveau. Oh, Mes fils, il vient le temps pour Moi de travailler une bonne fois pour la dernière fois et alors Je dirai: quiconque commet encore un péché, mourra instantanément.

…. Je vous ai tout fait connaître. Que tu n’aies plus d’envies, au prix de la mort! Que tu n’aies plus de désirs charnels, au prix de la mort! Ne péchez pas, au prix de la mort! Si quelqu’un te dit qu’il fait de toi un empereur, que tu n’acceptes pas.

… Oh, Mon fils, on ne dit pas le moment, mais souviens-toi de ces mots. Toi, celui qui commet des péchés, ce péché peut t’apporter la mort. Reviens-toi, Mon fils. Que tu n’ailles pas vers la mort. Mon peuple, ne sois pas vaniteux d’être «Mon peuple». «Mon peuple» pourquoi même si Je t’appelle «Mon peuple», tu es encore un pécheur? Dis-Moi, pourquoi dis-Je ça? Je dis «Mon peuple» parce que tu descends de mes origines, et J’ai dit «Mon Peuple» pour que tu le sentes. C’est Ma Mère qui ne Me permette pas, car Moi Je te perdrais si Je te voyais boire et déboucher. Ma Mère, ne Me permette pas, mais Je te détruisais. Je ne dis pas «Mon peuple» parce que tu le mérites.

Mon peuple, le diable se moque de toi et dit: «Ecoute-moi, imbécile: c’est Dieu Qui t’appelle, nigaud, arrête de boire. Et tu es avec moi».

Oh, quelle guerre il y aura entre vous! Un sera pris et dix seront laissés.

…. Oh, Mon peuple, vas juste en ce moment et regarde dans la taverne, tu compteras des milliers et des centaines. Vas aussi à la petite église, elle est vide, puisque tous ceux qui y étaient dedans le matin, maintenant sont au pub. Rien ne donne de vie au diable que l’ivresse d’aujourd’hui, puis la débauche et après eux, les péchés restants.

… Mes fils, vous qui avez des femmes, que vous soyez comme vous n’en auriez pas, mais ne laissez pas votre amour s’éteindre. Que tout mal périsse de vous, car Dieu cherche votre cœur pour y habiter. Des nombreux cœurs enfanteront des esprits impurs, ils prendront d’esprit et voleront sur la terre. Tuez le mauvais esprit de vos cœurs, car le mauvais esprit vous dira, lorsqu’il reviendra là où il est né: «c’est ici que je suis né, c’est ici que j’ai passé le temps».

Sachez que le Seigneur vous dira: si tu aujourd’hui et aussi longtemps que tu vivras, si tu vas me servir selon Ma loi écrite et même comme ça, si tu tombes un jour de Ma loi, sache que jusqu’à ta millième génération tous tomberont, car tu as prophétisé, tu as prédit et après ça tu as fauché et tout mis au feu. Tenez-vous bien fort, car le diable veut vous renverser, vous racheter. Quand vous allez vous coucher pour dormir, oignez-vous de myrrhe, encensez le lit, car même en état de rêve le diable peut vous tromper et sachez encore qu’il est interdit d’entrer dans l’église à celui qui pèche pendant le sommeil.

… Quelqu’un dit: «Pourquoi ne va-t-Il pas parler à tout le monde?». Pourquoi Je n’y vais pas, ça Me concerne. Je suis venu chez toi, Mon fils. Allons condamner ton grand-père et ton arrière-grand-père. Nous ne condamnons pas Abraham, car il avait un seul enfant et il l’avait sacrifié. Je le rends heureux, et Je l’écoute, et Je vais à sa rencontre et à la rencontre de son peuple. Voyez-vous combien d’étoiles il y a dans le ciel, combien de sable il y a dans la mer, qu’on ne peut pas compter, c’est ce qu’Abraham a et il en aura encore à naître. Oh, Mon fils, est-ce que Dieu est responsable d’avoir mis les organes dans ton corps? Il n’est pas coupable, puisqu’Il vous les a rendus de bonne raison.

… Tes brebis sont entées dans les champs de trèfle, et quand tu y iras, tu les trouveras gonflées. A qui est-ce la faute s’ils sont morts? La faute des bergers ou des moutons? C’est la faute des moutons, car elles font secrètement de mauvaises choses et quand vous leur le dites, elles se fâchent et s’irritent contre vous. Qui est le coupable? C’est le diable. Allons-nous le chasser tous et ne faire pas sortir l’ange de celui qui a le diable dedans.

Savez-vous que le salut est venu, mais vous ne voulez pas l’accomplir. Oh, Mes fils, J’ai dit sur la croix: «Pardonne-leur, Mon Père, ce qu’ils font!». Oh, Mes fils, mes enfants, Je suis devenu Père pour vous, J’ai assumé la mort, cependant, ce n’est pas bon pour vous, vous n’êtes pas toujours heureux. Je le répète encore une fois: savez-vous que vous perdez le bonheur, puisqu’il y a parmi vous des ivrognes, des fornicateurs, des fumeurs et encore toute sorte d’infâmes et vous allez perdre, parce que Moi, Je ne resterai pas à côté du mal esprit au même endroit.

«Et si j’ai bu un peu d’alcool, vais-je mourir? Ou si j’ai bu une liqueur vais-je mourir»? Mes enfants, «Je vais à la maison et je bois et je mange», c’est ça que tu as dans ton cœur.

… Mes fils, la première guerre qui sera menée sera contre la débauche et la seconde contre l’ivresse. Partout où le putain ou la pute seront trouvés, ils seront fusillés. Et partout où il y aura un ivrogne, une fabrique d’alcool, il sera fusillé.

… Daniel, Mon fils, cherche quelques parfaites chrétiens, avec du zèle et sans péchés, pour travailler à Ma maison. Et que leurs maçons soient sans mauvaises habitudes, qu’ils soient des maçons spirituels. Amen.