La Parole de Dieu à la fête de la Naissance du Seigneur
Le Saint-Esprit le Consolateur Se fait parole du Père et du Fils et Il Se glorifie avec Son pouvoir et avec Ses dons sur ceux qui croient et sur ceux qui ne croient pas, pour les uns en vue de leur salut, et pour les autres de leur jugement, car c’est un péché, un grand péché de dire que c’est le diable ou que c’est l’homme cette parole, et ce péché le font ceux qui sont destinés à le faire, les incroyants, dont le payement est écrit dans les Ecritures: le feu et le grincement des dents.
Oh, c’est par grande foi que Ma mère la Vierge M’a pris dans son sein virginal et elle M’a donné ensuite Enfant divin au peuple juif, le peuple qui ne M’a pas reçu, et qui a eu peur de Ma venue sur la terre, et il a gardé pour lui la chaise de maître sur la terre jusqu’aujourd’hui, quant à Moi, ils M’ont laissé pour le ciel, mais voilà, le ciel est Ma chaise de Maître, et la terre Mon marchepied, et les incroyants ne savent pas cette vérité, oh, ils ne savent pas ce qu’ils font alors qu’ils essaient d’éliminer Ma trace de la terre. Ils ont usé de leur domination ceux qui tuaient Mes fidèles, en les nommant sorciers et trompeurs, à causé des miracles et des signes qui se produisaient par leur foi en Moi. Ils ont usé de leur chaise de domination ceux qui M’ont persécuté dès Ma naissance de mère Vierge et jusqu’à Ma résurrection d’entre les morts, après qu’ils M’eussent crucifié, et jusqu’à Mon jour de la fin, quand Je siègerai sur trône de gloire pour les fidèles et pour les infidèles, tel que Je le fais maintenant aussi, et Je dirige et J’accomplis ainsi. Oh, Je Me tiens sur trône de parole, et la parole sortie de Ma bouche c’est la verge de fer avec laquelle Je pais les fidèles et Je juge les infidèles, et J’accomplis tout comme il y a deux mille ans les Ecritures de Ma venue d’auprès du Père à l’homme, et Mon royaume n’aura pas de fin, et les empereurs de la terre n’ont rien dans Mon royaume, et Moi non plus, Je n’ai rien dans le leur.
— Tu en as, Mon Fils, cher Fils du Père et le mien, oh, Tu as des fils fidèles et Tu T’aides avec eux dans Ta venue, car ils sont petits et ils T’obéissent. Je regarde leur grande douleur maintenant. Ils sont frêles et souffrants, et leur sourire cache leur douleur. Tu as mis la foi en eux pour qu’ils Te portent dans Ta venue d’aujourd’hui et pour qu’ils se soumettent sagement à Ta venue maintenant, oh, Seigneur. Voilà aussi Ta crèche où Tu descends pour que Tu ne sois plus errant, comme il y a deux mille ans, pour Ta naissance en parole, parole mise dans son livre sur la terre maintenant. Anges sans nombre apaisent la blessure de Ta crèche, faite toujours par le mauvais esprit, qui ne peut supporter sa douleur du mystère de Ton ordre actuel, le mystère de Nouvelle Jérusalem sur la terre entre les hommes, oh, Seigneur, Fils né alors et maintenant dans beaucoup, beaucoup d’humilité d’esprit! Tu souffres profondément de ceux qui s’éloignent de l’esprit de la foi, pour dire que c’est du diable ou de l’homme Ta rivière de parole. Oh, comment ferons-Nous pour effacer ce péché commis contre le Saint-Esprit, Fils né petit enfant à Bethleem et en parole maintenant, au milieu du peuple roumain?
Le péché de l’incrédulité du peuple juif ne T’a pas empêché de travailler alors l’Ecriture de Ta naissance sur la terre, il y a deux mille ans, et Tu as accompli, tel qu’il était écrit par les prophètes. Oh, maintenant non plus, ils ne T’empêchent pas les incrédules que Tu naisses sur la terre, parole de naissance de nouveau du monde, Fils Unique, né du Père et de mon sein virginal ! Tu es le Dieu d’Abraham d’Isaak et de Jakob, et cela c’est la porte du ciel, et qu’il est merveilleux ce lieu avec des fils porteurs de Dieu, ici, où Tu T’installes en parole de naissance, oh, Seigneur ! Tout loin qu’il soit le ciel de la terre, toute aussi grande est Ta pitié pour ceux qui Te craignent, et tout loin qu’il soit le lever du coucher, tout aussi Tu éloignes d’eux leurs fautes, et tout comme le père est bienveillant envers ses fils, c’est de même que Tu le fais avec ceux qui Te craignent, avec ceux fidèles, avec ceux qui portent Ta venue, Seigneur. Oh, guéris la langue de ceux qui les frappent, qui disent des vanités et de leurs faux cœurs ils disent: «c’est avec notre langue que nous seront forts, car notre bouche c’est notre puissance!». Mais ceux-là s’ils louent le Seigneur, ils le font selon l’envie de leur âme et, en faisant l’injustice, ils se bénissent eux-mêmes et ils ne se rendent pas compte du péché avec lequel ils pèsent sur Ton Saint-Esprit par leur infidélité. Oh, comment ferons-Nous pour effacer ce péché commis contre le Saint-Esprit, comment, mon Fils Jésus?
Vous, ceux qui portez mon Fils Jésus-Christ en parole du ciel à la terre quand Il vient à vous, soyez heureux, vous ceux êtes dénigrés avec du mauvais discours contre vous! Humiliez-vous pour vous et pour eux, fils persécutés! Soyez dans l’espoir car mon Fils Jésus-Christ, Celui Qui naît en parole chez vous, Il effacera votre larme. Il manque de raison celui qui se réchauffe au soleil, du moment qu’il méprise le soleil, et c’est tout aussi avec celui qui boit pour éteindre sa soif, en temps qu’il méprise le lieu de la source et la source. Tant que l’enfant est petit, il est porté et protégé, mais quand il grandit un peu, il s’en va tout seul, et du moment où il arrive à la stature de l’adulte, il ne veut plus être petit, il ne veut plus être enfant, lorsqu’il s’agit de la méchanceté du cœur, et il frappe autour de lui, celui qui se croit capable de le faire.
Gardez-vous dans l’esprit d’église, les fils! Que le diable ne se fasse pas d’églises dans votre église, les fils! Soyez tout le temps une seule église, car ceux qui ont travaillé du milieu selon leur tête, en se retirant deux par deux, trois par trois, ceux-là ont fait au diable de petites églises, et ils ont sapé le Seigneur, ils ont travaillé la mauvaise œuvre, celle égarant pour la fraternité, et ils se sont blessés avec le sabre de leurs occupations pas fraternelles, les fils. Oh, soyez obéissants! Gardez-vous de ne pas obéir, en regardant ceux qui n’ont pas obéi comme il faut! Ne vous cachez pas les uns des autres! Ne soyez pas mécontents, car ce péché vous dirige vers le proteste et vers la dissimulation ensuite! Aimez l’œuvre du paradis, tel que le Seigneur a établi le mystère de paradis pour l’homme au commencement, les fils! Oh, paix à vous, vous dit la Vierge, mère du Fils de Dieu, celle qui vous a donné le Christ il y a deux mille ans!
Et Toi, Jésus, mon cher Fils, affermis-Toi dans les portes pour eux et garde-les des chutes, car ceux qui tombent de la grâce accèdent difficilement à l’esprit de l’humilité, pour se relever de la chute, et ils ont moins honte de rester tombés, que de s’humilier et oser d’agir humblement pour leur salut. Oh, sauve Ton peuple, Seigneur mon Fils, et pais-le avec Ta verge de fer, car c’est Toi son Pasteur. Amen.
— C’est Moi leur Pasteur, Ma mère, et c’est avec la parole que Je les pais, et avec ceux qui les paissent de Ma part. Mon esprit de Pasteur Je le mets en vous, pour que vous paissiez Mes moutons, fils qui Me donnez parole à Mon peuple d’aujourd’hui, le peuple de Ma parole! Annoncez-Moi aux peuples, les fils, tout comme les pasteurs de la bergerie ont annoncé Ma naissance il y a deux mille ans, après que les anges du ciel fussent venus à eux et leur eussent chanté le chant de Ma naissance entre les hommes! Faites de même, annoncez-Moi du long en large, après que Ma chanson d’amour se rende parole pour vous, et pasteur pour vous, et ange annonciateur de Ma seconde venue d’auprès du Père à l’homme, car Je suis avec suite céleste de fête de naissance et avec des chœurs d’anges de Ma gloire au-dessus de Mes jardins avec vous sur la terre.
On a jour de naissance, Mon peule! J’ai nostalgie et tristesse venues de ceux qui n’ont plus voulu être entre les fidèles à Ma venue d’aujourd’hui à vous. Elle Me fait mal la blessure, elle Me fait mal en vous, mais les saints et les anges ont Ma fête de naissance avec vous. Que le sourire saint rende beau vos visages en pleurs, les fils, et partagez-le à ceux qui viennent chanter des noëls dans la maison avec vous en jour de fête de naissance, Ma cité de nouvelle Jérusalem avec vous sur la terre entre les hommes. J’efface pour un instant la douleur de vos cœurs et les larmes de vos yeux. Soyez sereins de Ma part, des hôtes pleins de sérénité de Ma part! Qu’ils soient bénis les plats, et vous à table avec les invités qui viennent! Soyez bénis, les fils ! Je suis votre Consolateur, car vous avez grand besoin de consolation pour vos douleurs. Paix à vous! Les noëls de Ma naissance portez-les dans Mon petit village de parole avec vous. Paix sur le petit village de Ma parole, de la paix par vous, oh, les fils! Amen.
Je Me tiens avec vous avec des jours de nouvelle naissance sur la terre et Je vais vous parler de l’esprit de la chair et de l’esprit de l’âme et Je vais vous apprendre la différence entre la raison et la grâce et nous allons apprendre l’œuvre des fils de Dieu, oh, les fils, et leur victoire par elle ensuite.
Amen, amen, amen.