La Parole de Dieu à la Fête qui fait mémoire de la Protection accordée par la Mère de Dieu avec son Homophore
Je couvre avec l’esprit de la consolation le lieu de la descente de Ma parole de ces jours et Je ranime, Je réveille au travail saint le peuple qui se tient devant Moi, sous Mon conseil, sous Mon travail dans Mes jardins avec lui, les jardins de la gloire, car il faut que J’aie avec qui parler sur la terre, et Je Me suis fait voie pour venir. Je viens sur la terre en parole de création, de naissance de nouveau du monde et Je travaille pour le renouvellement de toute chose, car il est écrit pour la fin du temps entre Moi et le Père: «Nous faisons toutes les choses nouvelles».
Je suis le Seigneur Jésus-Christ et Je suis le Consolateur de ceux qui croient en Moi, qui M’ont de leur Dieu, et qui demandent de Moi ce dont ils ont besoin pour leur voie avec Dieu. Je suis avec Ma mère, la Vierge en jour de fête pour elle, et Nous Nous laissons en parole pour ceux qui connaissent Notre descente, et ensuite Nous Nous partageons à ceux qui Nous attendent sur la terre par cette source de parole. La foi dans la prière, ce pouvoir fait des miracles et de grands signes sur la terre par ceux qui en croient. La foi de l’appel adressé à Dieu, Celui Qui peut donner à ceux qui Lui demandent, ce pouvoir doit être appris de Dieu, pas de l’homme, car l’homme espère seulement pour les choses d’en bas, quand il demande à Dieu pour lui. Mais la foi donne à l’home les choses demandées par lui du Seigneur, et cette foi doit être conseillée, pour avoir du fruit pour le ciel aussi, pas seulement pour celles demandées pour la terre.
Ils vont les hommes pleins de douleurs, ils font long voyage, des milliers de pas jusqu’au lieu où ils cherchent intercession avec prière à une icône, ou à un prêtre très connu pour sa grâce, et ils s’humilient ceux-là s’ils y vont, et leur humilité fortifie l’esprit de leur prière, la foi de leur prière, et la foi dans celui qui fait des prières pour eux, et leur foi accomplit leur prière. Mais s’ils se trouvaient près du lieu vers lequel ils voyagent à l’âme brûlante, le feu de leur cœur perdrait l’éclat, ils ne brûleraient plus de foi leur désir saint et leur pas voyageur.
Il y a beaucoup de ceux qui voyagent vers des lieux sanctifiés par les saints, lieux de prière, pour demander à Dieu de l’aide dans leurs besoins sur la terre, et peu d’entre eux ont de l’amour envers Dieu, avec l’accomplissement de leur vie, agréable au Seigneur. Je M’humilie Moi, le Seigneur, Je M’humilie pour chacun d’entre eux, et Je leur donne d’après leur foi, d’après l’humilité dans laquelle les ennuis des actions de leur vie les portent, car les actes de l’homme lui attirent des ennuis de toute sorte. C’est à la vieillesse que l’homme apprend d’avantage, lorsque la douleur le rattrape pour les faits qui lui ont amassé de la douleur, et s’il lui arrivait d’être encore une fois jeune, il ne ferait plus les mauvaises actions de la jeunesse, car il aurait de la sagesse. Mais il doit apprendre la foi de la prière, car ce sont les douleurs qui instruisent l’homme, tout comme elles avaient instruit l’empereur David, qui disait souvent au Seigneur: «Ne Te souviens pas des péchés de ma jeunesse et ne me quitte pas au temps de mon impuissance!». Oh, c’est ainsi qu’il priait celui passé par la vie et par le péché, avec douleur il priait, et la prière pleine d’humilité de la douleur humilie le Seigneur, Qui S’incline vers celui endolori, Il met la consolation sur lui et lui procure l’apaisement ensuite.
Oh, mère Vierge, Ma chère mère, c’est ta fête en ce jour. J’ai mis sur la table de Mon peuple enseignement pour la foi de la prière, Ma mère. Tu es garant devant Dieu pour ceux qui Me glorifient avec désir saint et haute louange jusqu’au ciel, Ma mère. Oh, c’est ainsi que tu t’es montrée alors, en ce jour, dans l’église de Vlaherne, au moment où une grande assemblée de chrétiens louaient le Seigneur en jour de dimanche et veillaient devant le ciel pour leur vie avec Dieu, et tu t’es tenue dans l’air de l’église au-dessus d’eux entourée de gloire, tu as étendu ta chape protectrice au-dessus d’eux, et celui qui t’a vu alors, le fou d’amour de Dieu et de Ses saints, il a éveillé son disciple vers cette découverte et l’a demandé: «Vois-tu l’Impératrice, Mère de Dieu, se tenant dans la gloire et couvrant de sa chape protectrice le peuple rassemblé?». «Je vois, oh, je vois, mon père, je vois, et grande peur me prend de cette vision maintenant, ici». C’est ainsi qu’il a répondu le disciple fidèle à son père, celui merveilleux en amour et en prière.
Nous fêtons aujourd’hui ce jour vécu alors par nombreux peuple de Vlaherne, et Je te présente parole de conseil pour ceux qui aiment le Seigneur, Ma mère. Il a besoin d’enseignement du ciel l’homme croyant, tout comme ils ont eu besoin de ta glorieuse vision, ceux de ce temps-là, lorsque tu t’as montré à eux dans l’air de l’église, après qu’ils eussent glorifié le Seigneur pendant toute cette nuit-là, Ma mère. Oh, s’ils savaient ceux qui Vous adorent par des prières et des hymnes, s’ils savaient Nous donner eux aussi la consolation qui pourrait Nous consoler, oh, Ma mère!
— Ton amour, Mon Seigneur et Fils Bien-aimé, c’est beaucoup à comprendre par l’homme pas instruit de Toi du ciel sur la terre. Oh, il est toute une larme le ciel de saints attendant l’amour venu de la terre vers ceux du ciel.
Il n’y a plus personne à garder les lieux propres pour Toi et pour les saints, Seigneur. Tout est à l’homme, qui est partout. Les serviteurs des lieux sanctifiés n’ont pas de vie sainte, et ceux qui vont vers ces lieux de prière, ils ne savent pas la douleur du ciel venue de ceux qui se tiennent en maîtres sur ces lieux sanctifiés, sans qu’ils se sanctifient pour eux, et qu’ils y vivent saintement. Oh, Nous N’avons plus des lieux sanctifiés pour Nous, mon cher Fils. Nous Nous humilions beaucoup, car l’homme demande de Nous pour lui partout, et pour Nous avec lui, il ne Nous demande plus.
Je me suis tenue dans l’air de l’église de Vlaherne alors, et je me suis montrée signe céleste sur ceux rassemblés pour chanter des hymnes de gloire, et j’ai étendu ensuite sur eux mon omophore, en remerciement pour la gloire qui Nous a honoré en jour de dimanche, jour de leur réunion sous Ton nom, mais les hommes ne se sanctifient pas pour Toi, oh, Seigneur. C’est depuis lors que ce jour de fête est écrit dans l’église, et on en fait mémoire par ceux qui le célèbrent, mais si avec leur action aussi ils glorifiaient le Seigneur, c’est alors qu’il serait entier leur amour, et vraie la parole de leur louange et l’offrande de leur cœur.
Il se tient le diable avec le piège largement ouvert en tout où il peut faire tomber les hommes sous le péché du contentement de soi, pour que les dons de Dieu ne puissent descendre sur eux, tel qu’ils sont descendus sur celui qui m’avait vue dans l’air de l’église, et m’a montrée alors à son disciple, auquel il a ouvert les yeux pour regarder la vision céleste. L’homme se réjouit qu’on parle du bien de lui par Dieu et par les hommes, il se réjouit d’être consolé et loué, mais la tristesse le prend quand on dit du mal de lui, oh, Seigneur. Oh, l’homme ne sait pas bien ce qui est bon pour lui, mon cher Fils. A peine dit-on quelque chose de bon, quelque chose sur son côté positif, à lui directement où par un autre, qu’à l’instant même le diable se prépare de faire tomber de quelque sorte, de le maculer de quelque sorte avec le contentement de soi, le piquant du cœur, lui détruisant l’humilité et l’inclination, et son bon pouvoir, et ensuite on peut le voir en train de changer l’humilité et sa beauté d’en haut, la soumission du cœur et sa douceur, l’humilité de ses actions.
Oh, cher Fils, mon Jésus, si la prière de ceux rassemblés devant Toi n’apporte pas sur eux des découvertes célestes elle est faible, elle est petite leur prière, et elle ne devient pas merveille pour eux. On a besoin de voix de prière, cher Fils. On a besoin de cœur brûlant pour Toi et de beaucoup de douceur en elle, et la foi de la prière doit fortement remplir ceux qui prient. Il faut avoir de forts serviteurs pour la voix de la prière de l’église, car Tu dois venir maintenant avec les derniers accomplissements de Ton royaume avec les hommes, cher Fils, et tout cela doit être demandé, et c’est de la terre que doivent venir des voix suppliantes avec brûlant cri, avec doux appel pour que Tu viennes. Il ne faudrait plus entendre d’autres sortes de paroles de prière vers le ciel, venues de ceux avec ardente prière, que des voix qui T’appellent de venir, de dépêcher Ta venue et affermir Ton royaume avec eux, oh, Seigneur, Empereur sur toute créature. Oh, qui T’appelle encore de venir? Qui sait vraiment ce que c’est Ta venue, cher Fils, Qui viens? C’est le temps de venir, c’est pour cela que Tu viens, en venant toujours. Nous mettons Notre espoir dans les fils de Ta parole d’aujourd’hui, descendue sur eux de Ta bouche, pour leur grande préparation devant Toi, pour leur vie avec Toi sur la terre devant Toi, oh, cher Seigneur. Qu’ils apprennent les fils de Ta parole la voix douce de la parole de leur prière vers Toi, Seigneur, et qu’ils se tiennent tous réunis sous la voix ardemment suppliante, avec des cœurs brûlants, oh, Seigneur. La foi de la prière va T’amener, et ensuite elle va amener l’homme à Toi, elle va amener la venue de l’homme, et Ta venue ensuite, oh, cher Fils, Qui attends de venir et d’être avec les hommes sur la terre.
Je bénis toujours devant Toi la terre roumaine, pour Ta gloire sur elle, oh, Seigneur. Garde-la et protège-la toujours et glorifie-Toi d’elle au-dessus de la terre et inscris-Toi comme vainqueur depuis ce trône, et montre-le montagne de gloire au-dessus de la terre. C’est cela que J’attends, c’est ainsi que je T’attends du foyer du peuple roumain, pour T’y tenir comme Sauveur et Vainqueur avec Ton royaume, et que Tu Te fasses verge de direction sur les peuples. Et maintenant je Te fais place avec Ta chère parole, car Tu es le Fils du Père et Tu es Sa parole, oh, mon cher Fils Jésus, et c’est du Père que Tu as la parole et Tu l’accomplis, et Tu Te fais semeur, oh, cher Seigneur, et il croît son fruit, puisque ce qui est écrit vient se montrer, oh, cher Fils. Amen.
—Elle est grande Ma parole pour le peuple de Ma parole, Ma mère. Je Me console quand Je peux lui parler, quand J’ai à qui dire Ma parole.
Je Me console avec toi, Mon peuple, car Ma parole t’instruit pour avoir raison et discours comme le Mien, et Me donner de la consolation, voix douce de prière avec grand appel devant Moi, pour venir avec Ma parole en quantité et la mettre sur la terre, car si Je n’avais pas à qui adresser Ma parole d’aujourd’hui, comment pourrais-Je mettre en ces jours la parole au-dessus de la terre?
Moi, le Seigneur, Je bénis toute ta préparation pour Moi et Je viens à toi et Je fête avec toi, Mon peuple d’aujourd’hui de Ma parole, et cette gloire tu la verras bientôt, bientôt et tu vas beaucoup t’en réjouir, oh, Mon fils, et tu seras Ma joie, qui sera maintenant et pour l’éternité Ma consolation et la tienne. Amen, amen, amen.