La Parole de Dieu du deuxième jour des Saintes Pâques, à la fête d saint grand martyr Georges
C’est un jour de Pâques, c’est Mon jour de Pâques, jour où on fait mémoire de l’Agneau de Dieu, car Je Me suis laissé comme un agneau pour le sacrifice sanglant, et Je Me suis fait nourriture pour l’homme, Agneau de Pâques, tout comme l’agneau se laisse pour le sacrifice, afin d’être mis ensuite sur la table pour être mangé par celui qui le sacrifie.
Dieu s’est fait Agneau de Pâques et Il S’est donné à l’homme comme nourriture, mais il est trop faible le tressaillement dans le cœur de l’homme lorsqu’il s’approche pour Me prendre et Me manger, puisqu’après que Je Me fusse laissé sacrifié, elle s’est accomplie avec Moi Ma parole prononcée devant les disciples un jour avant Ma crucifixion, car Je leur ai dit: «Prenez, mangez, ceci est Mon corps et Mon sang, qui se livre pour vous et qui se verse pour vous en rémission de vos péchés».
Je passe un jour de Pâques au milieu de toi, peuple de Ma parole. Je t’ai le Mien et Je t’appelle le Mien au milieu du peuple roumain, et Je Me tiens avec toi à table de parole, et tu mets dans le chandelier cette torche pour qu’elle fasse de la lumière, et tu partages ensuite Ma parole. Voilà, tu es le Mien, et elle va dans tout le monde la voie de Ma parole de ta table, car c’est du milieu de toi qu’elle se dirige vers tous les hommes de la terre, et elle frappe à leur porte pour qu’on lui ouvre et qu’elle entre et qu’elle fasse lumière, et en jour de Pâques, Moi, le Seigneur, Je dis à tous de la terre le salut de Ma résurrection: le Christ est ressuscité!, et cette salutation est une parole de joie, annonce de la résurrection et c’est de la joie qu’elle procure cette parole.
Moi, le Seigneur, Je Me réjouis quand J’accomplis les vœux de l’homme, Je Me réjouis de sa joie, car il se réjouit lorsque J’accomplis sa volonté, selon la demande formulée dans sa prière et Moi Je l’accomplis comme un Dieu plein de bonté. Oh, Je voudrais Moi aussi Me réjouir de l’homme. Je voudrais qu’il fasse lui aussi Ma volonté et qu’il se réjouisse lui aussi de Ma joie, tout comme Moi, Je Me réjouis de sa joie, lorsque J’accomplis sa volonté selon sa demande. Oh, il a besoin de beaucoup de bonté l’homme pour cela! Oh, il suffit qu’il soit de sa nature plein de bonté et, voilà, il aime Dieu, il Le sent même, il Lui donne de la joie ensuite, mais s’il n’a pas de bonté, il ne peut réjouir ni le Seigneur, ni l’homme. Celui plein de bonté renonce à soi et se donne aux autres à tout instant, selon leur volonté, pas comment et quand veut-il se donner. Un tel homme ne tourmente pas l’âme de personne, mais il fait attention et s’incline toujours pour réjouir l’âme de l’homme et ne jamais attrister personne, car la bonté ne peut faire autrement.
Oh, Je voudrais Me réjouir Moi aussi de la bonté de l’homme, de la joie qu’il pourrait Me faire. Je Me suis offert agneau de sacrifice pour rejoindre l’homme, pour prendre son fardeau, afin qu’il ne pèse plus sur lui, puisque les péchés de l’homme sont son lourd fardeau, mais qui lui dire combien il augmente ce fardeau en y ajoutant toujours? Quand J’ai vu que l’homme ne pense pas au fardeau du péché commis qu’il porte sans cesse, Je suis venu du ciel d’auprès du Père, et Je Me suis engagé sous lourd fardeau, sous la lourde croix, mise sur Mes épaules par le peuple juif, et Je Me suis laissé conduit vers la mort, pour payer la délivrance du péché de l’homme, pour prendre son fardeau, puisqu’après la perte du paradis, l’armée du Lucifer s’est vengé de l’homme et on l’a fait entrer sous le fardeau, car le plus grave péché c’est la séparation de Dieu de l’homme, et l’homme s’est séparé de Dieu par présomption, par l’envie de grandeur, et depuis lors tous les hommes pèsent les uns les autres, ils se font place les uns sur les autres, et ils tombent les uns sur les autres dans cette lutte, puisqu’ils n’ont pas de bonté. Les hommes se renversent l’un l’autre même si ce n’est qu’en paroles, ils se font la guerre les hommes, ils se remplissent d’orgueil l’un contre l’autre et il ne peut plus faire autrement l’homme.
Oh, qui parmi les hommes peut encore être beau entre le ciel et la terre? Qui est celui encore guidé par la douceur et la bonté afin de ne pas faire mal à personne par quelque douleur ou avec douleur pour douleur?
En Jour de Pâques, de Saintes Pâques, Je mets sur la table doux enseignement, pour aider l’homme de prendre en lui Ma nature, la nature de Dieu, afin qu’il soit beau l’homme. Je souffre pour l’homme, Je souffre depuis deux mille ans et J’ai la nostalgie de sa beauté primordiale, car J’ai bâti l’homme selon Mon image, mais après s’être enorgueilli pour cela, il est devenu laid, il a perdu la beauté, il a fait sortir le Seigneur de lui, et c’est lui qui y est resté. L’homme a perdu Dieu et il ne peut plus le retrouver, parce qu’il n’a pas de bonté, il n’a pas de douceur l’homme. S’il affirme qu’il en a celui-là, Je lui dis que c’est Moi Qui les ai, pas lui, et Je lui dis que c’est Moi Celui Qui essaie de pénétrer en lui avec Mon image et Ma ressemblance et Je lui montre ce qu’il a perdu, car l’homme a perdu Mon repos en lui.
Oh, pourquoi l’homme n’a-t-il pas de repos? C’est parce-que Moi, le Seigneur, Je n’ai plus Mon repos en lui, Je n’ai plus en lui Ma joie, car l’homme c’est lui qui habite en lui. Moi, c’est avec joie que J’ai bâti l’homme, quand Je l’ai bâti, et toute la création que J’ai faite par la parole, c’est avec joie que Je l’ai travaillée et avec joie Je l’ai donnée à l’homme, et Je l’ai mis au milieu d’elle, car sans de la joie pour elle, aucune œuvre travaillée n’est pas bonne.
Oh, peuple de Ma parole, travaille, Mon fils, avec de la joie tout ce que tu travailles en Mon nom, car l’homme ne s’est plus réjoui de Moi et avec Moi après l’avoir bâti, après avoir mis devant lui toute Ma peine, toute Ma joie avec laquelle J’ai bâti le ciel et la terre et toutes les choses d’entre le ciel et la terre. Oh, elle n’est pas bonne aucune œuvre que l’homme ne fait pas avec toute la joie, avec toute la force de son âme et de son corps! Elle n’est pas bonne ni la foi en Dieu, si l’homme ne fait pas beaucoup pour elle ensuite, pour témoigner d’elle.
Voilà, il est arrivé qu’en ce jour de Pâques on fasse souvenir de celui grand entre les saints martyrs, le martyr Georges, celui qui a porté sur son front la joie de Ma victoire contre les incroyants et persécuteurs du peuple chrétien de ce temps-là, après trois cents ans de Ma venue sur la terre. Il écoute avidement Ma parole le martyr Georges. Je l’ai à Ma droite à la table d’aujourd’hui. Sa joie a été grande sur la terre et toujours grande elle l’a été. Il Me portait en lui avec toute la fidélité, avec tout le désir saint, et c’est cela qui l’a élevé sur haute chaise vers la grandeur entre les hommes, et il était très beau à cause de Ma beauté en lui. Il est arrivé ensuite le jour pour témoigner Son existence et Celui Qui habitait en lui avec beauté céleste, son Seigneur Dieu, car il faisait parti du peuple chrétien, du peuple de Christ. Oh, qu’il a été beau au temps de son témoignage pour Moi! Il est grand l’éclat des porteurs de Dieu devant ceux grands avec grandeur terrestre, éclat qui les fait s’enorgueillir, car ils sont présomptueux. L’empereur païen de ce temps-là a décidé d’exterminer les chrétiens, et il s’est levé le martyr Georges, tout grand qu’il était alors sur l’armée de l’empereur, et il s’est montré chrétien avec force de témoignage fait de haute chaise, et quand il a été soumis aux supplices, il les a vaincus tous et il a ébloui tout le monde avec les signes de Dieu par lui, car l’amour de Christ était grand dans Mon martyr, et il a vaincu la présomption impériale, et elle est restée dans l’histoire la victoire du martyr Georges, avec laquelle il est monté au ciel, et il a aidé les chrétiens avec elle, et ceux-ci le savent dans le ciel, porteur de victoire, et ils s’aident avec lui en Mon nom dans tout leurs problèmes, et voilà, les fils, ce que cela signifie la force de la joie dans l’homme.
— Oh, je veux, Seigneur, je veux, moi aussi parler aux fils de Ta parole. C’est mon jour d’assemblée entre les saints et Ton jour de Pâques et nous devons parler de Ta joie celle venue de ceux qui Te sont fidèles. Oh, bénis ma parole, mon Empereur, car je veux dire à ceux qui écoutent Ma parole d’aujourd’hui, je veux leur dire que si Toi, Seigneur, Tu n’es pas toujours, toujours la joie de l’homme, il est autre chose l’homme, il est même Ton persécuteur. Oh, malheureuse la vie de l’homme sans Dieu en elle et pour elle, car c’est Toi, c’est seulement Toi la joie de la vie de l’homme, seulement Toi, Seigneur! Elle était en moi cette joie pendant tout le temps que j’ai vécu sur la terre. Elle resplendissait en moi et les hommes de mon temps m’aimaient à cause d’elle, et ils m’ont élevé à la dignité des hautes chaises pour conduire l’armée impériale, mais lorsqu’elle est venue la persécution des chrétiens, j’ai montré à tous Celui Qui vivaient en moi, joie et beauté, Toi, Seigneur, de Qui l’empereur m’obligeait de me séparer pour ses idoles trompeurs. Elle a tressailli la joie de mon âme, et je me suis levé avec joie en temps d’incrédulité, pour témoigner de Ta divinité, oh, Seigneur, et elle grandissait en moi cette joie, et dans l’empereur l’opposition en même temps que mon témoignage pour Toi, et je l’ai vaincu, je l’ai vaincu avec Toi et pour Toi, puisque c’est Toi que j’ai choisi, et pas lui, et je suis resté avec Toi pour l’éternité, et Tu es ma joie, c’est depuis la terre jusqu’au ciel que Tu as été et que Tu es ma joie, car toute œuvre pour Toi doit être travaillée avec joie, et qu’il entende cela tout le peuple chrétien de la terre et qu’il s’habitue d’être beau ce peuple, car la beauté c’est de la joie, et la joie c’est de la beauté, oh, Seigneur de la joie de mon âme.
Malheur à l’homme mécontent! Que pourrait réjouir un tel homme? Rien, rien ne peut le réjouir, car la joie est une vertu que l’on ne peut emprunter pour des instants et pour des désirs. Le contentement de l’âme ne doit être attendu venir des côtés, car il fait partie de la nature de l’homme déifié, et quant on voit un homme pleurard peut-on croit qu’il est capable d’aimer Dieu? Oh, non! C’est seulement celui dont l’âme est comblée de joie qui peut aimer beaucoup le Seigneur, car j’ai eu beaucoup de richesse sur la terre, laissées par les parents, mais ma joie était le Seigneur, et je m’en suis débarrassé comme de la poussière, car je n’ai pas pu quitter ma joie, le Seigneur de mon âme, Qui m’a suffi, Qui m’a toujours suffi.
Oh, fils de la parole de Dieu, que le Seigneur vous suffise et que cela vous suffise de travailler pour Lui, de témoigner de Lui. C’est avec grande joie que vous devez travailler pour Lui, même alors quand il vous semble que c’est quelque chose d’insignifiant ce que vous travaillez, et cela parce qu’il faut que l’âme soit toujours, toujours toute une joie, car Dieu c’est l’âme de l’homme. Oh, apprenez de donner à Dieu ce que personne ne lui donne. Accordez-Lui de la place et de la joie en vous! Soyez les fils de la joie, soyez comblés de Dieu toujours!
Au peuple chrétien de partout, de toute la terre, je dis aussi à tous: Soyez pleins de Dieu, pas de vous-mêmes! Le Seigneur a fait la volonté de l’homme comme un Dieu. Faites vous aussi Sa volonté et celle de vos frères pour être comme Dieu. Oh, il n’y a pas de joie sans Dieu. Oh, ne perdez pas l’espoir en temps d’épreuves et de tentations. Moi, je les ai vaincu, c’est avec le Seigneur que je les ai vaincus. Travaillez de même, et réjouissez-vous en travaillant pour le Seigneur, et si vous vivez autrement sur la terre, vous ne serez pas chrétiens que de nom. Oh, revenez à la vie, revenez à la vie avec le Seigneur, et moi je vous dis d’auprès de Lui, je vous dis en jour de Pâques: Le Christ est ressuscité!
Oh, Seigneur, que Tu es grand en ces jours au milieu du peuple roumain, sur le foyer duquel Tu pais Tes agneaux, les fils de Ton peuple, que Tu nourris avec beaucoup de parole!
Oh peuple roumain, quel grand trésor le Seigneur a-t-Il sur ta terre! Quelle grande lumière, mise dans le chandelier pour t’éclairer et te faire voir! Oh, qu’allez vous faire si vous tournez le dos à l’appel du Seigneur, à Son grand amour, qui crie dans les rues pour qu’on L’entende?
Oh, Seigneur, bénis avec grande foi le peuple roumain! Oh, Seigneur fais des signes et des merveilles pour la foi de ce peuple! Oh, Seigneur, regarde du haut des cieux et vois et considère cette vigne et protège-la pour Ton nom, car Tu peux faire cela! Oh, Seigneur, fais que les Roumains aient comme leur joie seulement Toi, et que ce soit seulement Toi leur Seigneur, que les idoles et tous les plaisirs et débauches liés à eux sortent de cette cité, puisqu’ici est Ton pays le pays roumain, et Tu y as la table de Ta noce, où Tu appelles et Tu attends venir à table le peuple roumain, et moi je Te souhaite cette joie, je souhaite que le peuple roumain fasse Ta volonté, oh, Seigneur. Amen.
— Amen, amen qu’il soit ton souhait, grand martyr, car Moi, le Seigneur, J’attends à la frontière entre la nuit et le jour, entre les ténèbres et la lumière, et c’est avec patience que J’attends la résurrection du peuple roumain, celui bénis, depuis deux mille ans, destiné à Moi pour la fin du temps, et tout va s’accomplir selon la volonté de Mon Père. Amen.
Oh, peuple roumain, quelle grande bénédiction as-tu de Dieu! Qu’Il est grand le Seigneur en toi et Son œuvre au milieu de toi! Quels grands mots ai-Je prononcé sur ta terre. Ma rivière de parole passe par toi et ensuite elle dépasse tes frontières. Bientôt les peuples te demanderont de Ma gloire présente en toi, au moment où ils leur seront découverts des signes célestes au-dessus de toi. Je suis l’Epoux en toi et J’ai la mariée choisie de ton milieu, J’ai table de noce mise sur ton foyer et Je t’appelle, Je t’appelle de venir et de M’entendre et de t’offrir à Moi en cadeau de noce, et Moi Je te donnerai place à Ma table de Mon royaume, oh, Mon pays de noce. Vas-y, viens! J’attends que tu viennes et que tu témoignes de Moi aux peuple ensuite et savoir que Je suis avec toi et que Je t’aime d’un grand amour. Oh, n’oublie pas de M’entendre, Mon pays, Mon élu entre les peuples, le pays du Seigneur, le pays de Ma venue en parole sur la terre. Amen.
Oh, peuple de Ma parole, fais appel toi aussi afin que le pays roumain vienne à Mon festin de noce avec toi, et qu’il vienne vêtu de beaux habits, de vêtements célestes et que Je le glorifie ensuite entre les peuples.
Oh, Mon peuple, ils viennent à la source des cœurs assoiffés de désir saint. Prépare-toi d’aller au-devant d’eux, car dans trois jours Nous aurons fête de parole de source qui guérit, et elles viennent des âmes à la guérison, les fils, et ensuite, après encore dix jours, elles se rassemblent pour Moi et pour toi. Oh, rends-toi Ma fête avec eux, Ma joie avec eux, car qu’elle est grande Ma joie lorsque des cœurs viennent à la source pour Me prendre de leur joie, et rentrer ensuite pleins de joie, avec le Seigneur en eux. Oh, c’est cela ton travail, d’être hôte et arrêt céleste pour ceux qui cherchent Ma source du milieu de toi, et Ma bénédiction de ces contrées célestes, où Je M’arrête avec Mes saints sur la terre.
Voilà, Je t’ai annoncée de Me préparer la voie de ceux qui viennent à la source maintenant, Je t’établis dans la joie de Ma résurrection et Je te dis avec joie: Le Christ est ressuscité, Mon peuple, et que la joie remplisse les cœurs qui en vérité se réjouissent pour Moi, pour Ma résurrection celle pour l’homme, puisque c’est pour l’homme que Je suis mort sur la croix, et c’est pour lui que Je suis ressuscité, et J’ai payé avec sacrifice sanglant sa résurrection.
Oh, prépare-toi pour la fête et fais-toi Ma fête pour ceux qui viennent avec désir saint à la source, et Moi Je prononcerai toujours ton nom et Je vais te nommer le Mien, Mon peuple Je vais te nommer toujours, Mon fils, et toi tu auras le devoir de montrer à ceux du ciel et à ceux de la terre que tu es Mon peuple et que Moi, Je suis ton Dieu et ta joie, et que Je suis fier de toi, Mon petit fils, car Je veux que tu sois enfant, que tu sois petit, pour pouvoir rester dans Mon bras, dans Mon amour, dans Ma bergerie sainte, et que Je sois Moi grand sur toi, et que tu apprennes Ma grandeur au milieu de toi et rester obéissant sous elle, car c’est de la grandeur céleste au milieu de toi, oh, Mon peuple. Amen, amen, amen.